Amulette Sagesse des Ancêtres
Avant de découvrir son message, voici quelques petites choses à savoir avant d’adopter une amulette :
Elles sont toutes vendues avec leur petite attache pour être portées en pendentif.
Elles sont en verre, donc fragiles !
Vous pouvez en porter plusieurs en même temps, mais je préconise de les porter une par une, afin de vivre pleinement leur poésie. Pourquoi ne pas en porter une pendant une semaine, puis une autre la semaine suivante ?
Amulette Sagesse des Ancêtres
Il y a en nous des savoirs qui ne viennent ni des livres, ni de l’école, ni même de l’expérience directe.
Des élans, des ressentis, des intuitions… comme des murmures transmis de cœur en cœur, de ventre en ventre, à travers les générations.
Cette amulette est née de cette sensation-là.
Celle d’être portée par des mémoires invisibles.
Celle d’avoir au creux du corps les gestes, les herbes, les silences et les rêves de celles et ceux venus avant nous.
Elle ne raconte rien de précis.
Elle écoute. Elle rappelle. Elle relie.
Un petit talisman pour celles et ceux qui sentent, sans toujours pouvoir expliquer.
Pour celles et ceux qui cherchent à se reconnecter à leurs racines invisibles.
La Nigelle de Damas :
Ses graines noires sont comme de petits portails vers l’invisible.
Plante reliée aux traditions anciennes, à la guérison par les plantes et aux savoirs oubliés, elle symbolise ici le lien direct avec nos lignées, nos ancêtres, nos terres intérieures.
Elle nous invite à tendre l’oreille, à ralentir, à faire confiance à cette sagesse intérieure transmise sans mot.
La Fougère :
Poésie de nos grands-mères sorcières.
C’est une plante de l’ombre, discrète, mystérieuse… mais ô combien ancienne.
Elle pousse là où l’humidité nourrit le sol, là où le chant du monde se fait plus feutré.
Elle évoque les savoirs silencieux, la magie des choses simples, la puissance du féminin ancien.
La fougère vient ici nous reconnecter à notre propre puissance douce.
La Mousse :
Petit écrin végétal, souvent ignoré, et pourtant si essentiel.
Elle est le symbole de l’ancrage, de la mémoire des forêts, de la lenteur sacrée.
La mousse nous apprend à habiter notre corps, notre territoire, notre histoire.
Elle murmure que le passé n’est jamais coupé du présent, et que nous pouvons nous reposer sur ce qui nous précède, comme sur un coussin de terre tendre.
Cette amulette est un hommage.
À celles et ceux qui ont marché avant nous.
À celles et ceux que nous ne connaîtrons jamais, mais que nous portons en nous.
Elle n’est pas là pour “guérir” ou “protéger”.
Elle est là pour rappeler que nous ne sommes jamais seules.
Même quand on l’oublie.